Spécialiste de la Russie d’hier et d’aujourd’hui, Galia Ackerman dresse un tableau de la vie dans la «zone», écrit Marc Semo dans son article "Voir Tchernobyl et survivre" paru dans Libé le 30 mars.

"N'oublions pas Tchernobyl", lance ELLE, sui souligne l'importance du travail de mémoire, trente ans après la catastrophe.

Le mensuel Alternatives Economiques a publié une double page de photos, et une recension du livre pour le moins élogieuse :

"La force de ce récit réside surtout dans les deux grandes qualités de l'auteur, au-delà de ses talents de narration et de description : l'empathie et la volonté de la vérité."
 

par sophie | 25 mar 2016