À l'issue de sa première semaine en librairie, L'Âge de la Régression s'est hissé, en deuxième semaine, en vingt-quatrième position du palmarès des meilleures ventes établi par L'Express et Tite-Live.

Après deux pages dans Le Monde du 8 avril, une grande recension parue dans Libération le 10 avril,  L'Obs a publié les bonnes feuilles de ce "manifeste mondial contre le populisme" :

"Ouvrage magistral, à lire sans tarder avant les élection", écrit Marie Lemonnier.

La Croix s'est fait l'écho de cet événement éditorial, avec une interview croisée de de deux auteurs, Paul Mason et Bruno Latour.

Jacques Munier y a consacré sa chronique du journal des idées sur les ondes de France Culture :

Le livre était l'objet du débat entre Laurent Joffrin et Alexis Brezet dans Le club des idées sur France Inter. À réécouter ici :

Dans son article intitulé "Une théorie de la régression", Nicolas Truong, du Monde, écrit :

"Encore sonnée, la gauche intellectuelle tente donc de se rassembler, de panser ses plaies et de penser à nouveaux frais. (...)
Comment être internationaliste quand on est employé ou ouvrier aujourd’hui alors que la mondialisation est synonyme de flux financiers et d’abandon de souveraineté ? C’est sans doute l’un des points forts du livre, dont le caractère collectif n’évite pas toujours les redites : les auteurs ont voulu comprendre avant de juger. Et le constat semble globalement partagé. (...)
Ce n’est donc pas pour psychologiser la politique que les auteurs utilisent le vocable de la grande « régression », mais parce que l’économie affecte les corps, et qu’en ces temps désorientés, il est urgent de parler autant au cœur qu’à la raison."

par sophie | 08 avr 2017